Succombez à l’appel de Divacore
- Grégory VAUTRIN publié pour Mylorraine.fr
- 13 févr. 2017
- 4 min de lecture

Allez sur le site de la société Divacore et vous pourrez lire : « Fondée en France en 2011 par une équipe de passionnés, Divacore a pour objectif de vous faire ressentir les émotions et l’énergie d’une vie en musique. Maintes fois primée par la presse Internationale, Divacore revient pour établir les nouveaux standards et devenir Maître de l’audio connecté. Les codes Divacore sont clairs : Perfection des produits, simplicité des usages et design épuré. DIVACORE : BE SMART, BE WILD ».
Voilà ça c’est fait, on pourrait presque s’arrêter là. Mais ça serait mal connaître votre serviteur, car tel l'inspecteur Legrasse, j’aime à mener mon enquête et vous la réciter.
En effet, Divacore ne se résume pas à ces quelques lignes ou uniquement à du bon son dans des casques et enceintes Bluetooth.
Divacore c’est aussi -et surtout- de belles paroles associées à de beaux actes, sous l’impulsion de personnes extraordinaires qui centrent leurs ambitions sur l’humain, la collaboration, la mutualisation des compétences, le souci de (très) bien faire, la culture de l’excellence et la passion pour le son.
Voilà déjà quelques années que Divacore fait du bruit avec ses produits blindés de technologies, ultra Design (#beaux) et d’une simplicité d’utilisation évangélique au point que même moi je puisse m’en servir, c’est vous dire…
Derrière Divacore se cachent 3 personnalités aux profils complémentaires, riches d’expériences, motivées qui mutualisent leurs compétences et expertises et qui surtout SURTOUT sont ultra sympas.
David Grasso, Linh Tran et Jérémy Obriot forment le trio Divacore, l’onde de choc sur le marché audio c’est eux ! Pour visualiser Divacore, il faut imaginer un groupe de musique composé de Phil Anselmo, Madonna et DJ Shadow. La somme des différences fait leur force.
La start-up messine Divacore me fait penser au film de Luc Besson : le 5ième Elément.
Halte là ami lecteur, et merci de ne pas appeler les urgences immédiatement, je m’explique. Non je ne suis ni devenu fou comme le chapelier. Je sais, d’ordinaire j’évoque ce film pour associer mes vocalises aux hurlements de Chris Tucker.
Mais pour le coup, et bien que nous restions dans le son, le sujet du jour me fait écho et me renvoie au rôle de Maïwenn Le Besco. Elle incarnait cette cantatrice bleu badass, La diva Plavalaguna, qui tabasse en musique dans une scène épique :
Vous commencez à saisir le lien ? Et oui, Divacore est une autre diva qui envoie du lourd.
C’est même l’origine du nom : Diva et core pour le côté hardcore / experts.
Or donc, cette société messine qui ne vend pas du rêve, elle vous le glisse dans les tympans ! Divacore pour ceux qui parlent par #motclef se résume par : messins copains talents qualité high tech ultra geek nomade simple moderne design bon son !
Merci d’avoir lu jusque là, vous pouvez zapper sur une autre info … ou continuer à lire cette histoire passionnante d’un jeune entrepreneur et de son équipe, attachés à leur territoire et à la qualité des produits sonores à l’esprit rock, pop, techno, amarré à l’univers lovecraftien et steampunk.
Ils ont leurs codes, leurs propres définitions du bon son et du beau, et le calque dans leur travail.
Car oui, c’est possible de rester en Province tout en étant performant, compétent et prospère ! Divacore n’a pas cédé aux sirènes parisiennes. Basée à Metz, au cœur du TCRM-Blida, ces fondus de musique, amis de lycée, cultivent l’excellence et le collaboratif.
Le nom même des produits est malin et réfléchi. On oscille de Ktulu à Bloop, les deux étant les cris les plus puissants de la surface de la terre et des mers. La prochaine enceinte sans-fil pourrait pourquoi pas s’appeler Munch rapport au tableau expressionniste.
Mais non car j’ai une exclue ! David Grasso confie que le prochain le champ d’investigation de Divacore sera comme un hommage à Sound of Silence de Simon & Garfunkel. Des nouveautés prochainement dévoilées lors du saint Graal de l’innovation technologique : LE CES de Las Vegas. Participation qui montre que Divacore fait parti des grands.
Il m’a suffit de quelques minutes avec David et Linh pour saisir que la membrane du sensible, l’importance de l’humain et l’esprit bienfaisant, sont compacts chez Divacore.
Ne vous méprenez, amis lecteurs, il ne s’agit pas de doux-dingues utopistes, des déments qui viennent de la mer, ni des allumés du son qui ride the lightning.
Ils savent où ils vont, ils ont la grinta et la confiance. La raison ? Ils mettent tous les moyens et toute l’énergie qu’ils peuvent pour faire de Divacore une grande société avec des produits de très grande qualité.
Enfin fonctionnant énormément par analogie et autres associations d’idée, je vous renvoie au groupe Astonvilla qui chantait : « C'est moi la fraîcheur future. Je construis pour demain. La belle et grande aventure. Alors je monte le son. Alors je monte le son
Je m'isole. Je cherche quelque chose. Qui raisonne. »
Nul doute que David et l’équipe de Divacore construisent, pour demain, dans une belle et grande aventure, les produits du futur. Perso, après avoir testé de mon modeste avis de mélomane du dimanche, je ne cherche plus. Avoir un casque Divacore, c’est un peu toucher de l’oreille le Nirvana du bon son.
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